Il est particulièrement important que nous ayons pu débattre de l'agriculture, dans le respect mutuel. Ce secteur fait aujourd'hui face à des situations souvent très compliquées qui ne laissent pas de place à la politique politicienne. Nous sommes vraiment là pour trouver les solutions les plus efficaces pour tout le monde.
Le travail n'est pas fini car ce projet de loi ne traduit qu'une partie des conclusions des États généraux de l'alimentation. D'autres conclusions, de nature non législative, ont déjà été mises en oeuvre par le ministre ou le seront prochainement.
Il reste la mission essentielle consistant à accompagner la profession et les interprofessions, chacun notre place. Nous avons tous un rôle à jouer en la matière, en particulier pour que les interprofessions puissent fournir des indicateurs incontestables et issus d'accords interprofessionnels unanimes. C'est seulement à cette condition qu'ils pourront avoir un réel effet de levier sur les prix payés aux producteurs.