Madame la députée, je ne peux que reprendre l'analyse que je viens de faire devant vous : les éléments dont je disposais le 2 mai, c'est-à-dire le lendemain, m'ont conduit à prendre cette sanction que j'ai considérée comme adaptée, proportionnée à un comportement individuel fautif. Je comprends parfaitement que l'on puisse considérer qu'elle n'était pas adaptée. En tout cas, en ce qui me concerne, j'assume ma décision.