Son devoir est d'accompagner et de maintenir les observateurs dans leur rôle d'observateur. Mais je tempérerai un peu mon propos, car cela pose la question du statut de l'accompagnant : est-il là pour ouvrir les portes à l'observateur ? pour l'accompagner et lui expliquer les choses ? pour le « cornaquer » ? Là où cela a péché dans cette affaire, c'est que l'accompagnant était statutairement deux corps et sept grades en dessous du contrôleur général Simonin qui lui donnait des ordres, et il est à un monde de M. Benalla.