Marie-France Monéger-Guyomarc'h, directrice de l'Inspection générale de la police nationale :
L'analyse de l'IGPN ne peut pas avoir servi de base le 3 ou le 4 mai, les autorités ne la connaissaient pas. Nous n'avons pas fait part de notre analyse : elle est restée au niveau de l'IGPN.