Nous sommes quelque peu surpris que M. Macron cherche à déstabiliser le fonctionnement de notre commission. Cet après-midi, j'ai demandé à M. le directeur de cabinet du Président de la République, M. Strzoda, s'il avait pris la sanction, s'il l'avait prise seul, s'il l'avait assumée tout au long de l'affaire jusqu'au mois de juillet. Il m'a répondu que oui, et M. Macron, ce soir, devant les députés de la majorité, revendique la sanction et prétend qu'elle a été prise par lui. (« Non ! » sur les bancs LREM.)