Je crois avoir donné des indications sur la préoccupation qui était celle du ministre et de son cabinet de s'assurer que les personnels qui relèvent, dans leur déroulement de carrière, du ministère de l'intérieur, continuent, pour cette réforme dont les contours ne sont pas à ma connaissance arrêtés – le directeur de cabinet du Président a parlé tout à l'heure d'une « réflexion » –, d'entretenir la relation de déroulement de carrière statutaire qu'ils ont au sein du ministère de l'intérieur, qu'il s'agisse des policiers ou des gendarmes.
Pour ce qui est de leur perception de la réforme, je ne suis pas en mesure d'y répondre car je ne suis pas en responsabilité de cette réforme.