… et son service d'ordre qui a des photos, qui a des éléments à fournir à la commission d'enquête sur la présence d'Alexandre Benalla, et pas seulement place de la Contrescarpe ?
Comment se fait-il que les syndicats de policiers qui ont des choses sur M. Benalla et sur les événements du 1er mai ne puissent pas être entendus ?
Si vous persistez à entraver les travaux de cette commission d'enquête, vous faites d'une affaire politique une affaire d'État. Quand on appartient à la majorité présidentielle et qu'une affaire touche à la présidence de la République, si on était des gens responsables et soucieux de la vérité, à tout le moins on garderait un peu de recul, un peu de réserve. Si j'étais à votre place, je laisserais la commission d'enquête cheminer.