Toutes les réformes menées par le gouvernement depuis un an l'attestent et font que les députés communistes ont mille et une raisons de le censurer, à commencer par la série d'agressions subies par le monde du travail de la part de celui qui assume son titre de « Président des riches », tout en accolant le nom de « réforme » à des mesures qui en réalité ne se justifient que par de s considérations idéologiques d'essence purement néolibérale.