Je dis « Zorro » à dessein car vous avancez masqués. Derrière Benalla, vous cherchez une revanche, ou plutôt à vous persuader que nous sommes une parenthèse. Vous avez mal digéré, vous voudriez que le cauchemar s'arrête, que les choses redeviennent comme avant, que nous n'ayons jamais existé, et surtout que nous ne puissions plus réformer le pays, réussir pour le pays ! Mais votre « avant », c'est le tic-tac droite-gauche inutile et immobile qui nous a conduits là où nous sommes.