L'examen de ces amendements permet de constater que nous ne sommes pas ici dans l'ornement mais dans le discernement. D'abord, en intégrant l'idée de théories. Puis, en intégrant la discrimination et la haine. Nous sommes en train d'identifier les comportements qui, dans certains quartiers, permettent de déceler le risque terroriste.
Pour ceux qui voulaient des exemples, ces risques, c'est les pressions pour obliger à se rendre à la prière, la déscolarisation des jeunes filles, les pressions sur les commerçants pour fermer les jours de culte.
Le 28/12/2017 à 10:59, Laïc1 a dit :
"Pour ceux qui voulaient des exemples, ces risques, c'est les pressions pour obliger à se rendre à la prière, la déscolarisation des jeunes filles, les pressions sur les commerçants pour fermer les jours de culte."
M. a oublié aussi les pressions sur les boulangers pour qu'ils ne vendent pas de sandwichs au jambon ou à la viande non halal. Certains vont même jusqu'à ne plus vendre de sandwichs tout simplement, pour ne pas avoir de problème, j'ai vu ça dans une commune dont je tairai le nom.
Le 28/09/2017 à 15:42, Laïc1 a dit :
C'est la bouche du prêcheur de haine et de discrimination qu'il faut fermer, pas le lieu de culte.
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