Cet objectif se trouve aujourd'hui renforcé par la disposition proposée par le Sénat, qui permettra aussi de prendre en compte la différence d'âge.
J'entends ici et là certaines ou certains avancer qu'il n'y aurait pas d'âge dans ce projet de loi. J'invite chacune et chacun à commencer par lire ce texte de loi avant de le commenter : chacune et chacun constatera qu'il y a bien un âge écrit noir sur blanc, l'âge de 15 ans, conformément à l'engagement du Président de la République. À une époque où les fausses nouvelles se propagent plus vite que la vérité, j'invite les élus de la République à débattre loyalement, sur la base des textes, sans envoyer des messages contradictoires, voire mensongers, aux agresseurs.