… en majorité des propositions de mise à plat du droit commun. Chaque fois, nous les avons soutenus par des arguments. Je ne vous permets donc pas, monsieur Larrivé, de vous adresser à nous comme vous l'avez fait. Nous reconnaissons la cohérence dont vous témoignez en allant jusqu'au bout de votre logique sécuritaire ; nous nous y opposons, mais nous ne vous faisons pas l'insulte de vous traiter de « christiano-fasciste »…