L'auteur des propos pourra pourtant revenir, alors que les vrais fidèles seront pénalisés. Le présent amendement prévoit donc de réduire le temps de fermeture à quinze jours. Mais, afin de répondre à une lacune du texte, je propose aussi d'ajouter un alinéa qui ne vise plus les lieux, mais les personnes responsables ou les complices de ces propos, en leur interdisant d'approcher le lieu de culte en question pendant six mois.
Le 28/09/2017 à 20:16, Laïc1 a dit :
C'est la bonne idée : non pas la fermeture du lieu de culte, mais la surveillance, le tri des prêcheurs qui peuvent y accéder, et bien sûr l'écoute et l'analyse de leurs prêches.
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