Monsieur le ministre, vous le reconnaissez vous-même : il n'est pas facile de fermer une mosquée et de trouver un imam. Si à l'issue du délai administratif de fermeture les circonstances ayant entraîné cette décision demeurent inchangées, pourquoi ne pas prévoir la possibilité de la proroger ? Pourquoi, monsieur le ministre, vous fermez-vous vous-même cette porte ? Pouvez-vous nous l'expliquer ?
Le 28/12/2017 à 12:36, Laïc1 a dit :
Le préfet devrait aller faire un tour dans les mosquées, et y tenir un discours public rappelant les valeurs de la République. Pour y définir ce qui peut y être dit de ce qui ne peut pas y être dit. Les choses seront ainsi plus claires dès le début. Sinon, pas de contrôle, pas d'avertissement, donc on peut dire ce que l'on veut, du moment que c'est écrit dans le coran, cela est permis et licite de le dire. Hé bien non.
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