Le choix reviendra au préfet ; c'est tout l'objet de l'article 2. Cette période de six mois permettra de changer la personne qui dirige le lieu de culte, mais si au-delà de six mois le préfet considère que la situation n'est pas revenue à la normale, il décidera peut-être de dissoudre l'association. La décision lui appartiendra, mais contrairement à ce que vous dites, le droit commun permettra bien de procéder à la dissolution de l'association cultuelle.
Le 28/09/2017 à 20:20, Laïc1 a dit :
Peu importe qui dirige quoi, ce qui importe, c'est ce que dit et appelle à faire la personne.
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui