Je récapitule, dans l'espoir de clore cette discussion. Pendant six mois, le lieu de culte est fermé ; il n'y a donc plus personne qui y prêche un discours de radicalisation. Au terme de ce délai, on le rouvre ; si à nouveau, des personnes ayant réinvesti le lieu y tiennent des propos qui relèvent de l'apologie du terrorisme, le préfet le fermera de nouveau.