Le rapporteur général m'ôte les mots de la bouche. Prenons garde à tout ce qui donne le sentiment que nous ne croyons pas à la responsabilité des individus : c'est l'un des aspects importants du texte. Je crois à la responsabilité des individus. Nous n'allons pas surveiller les compétences des créateurs d'entreprise – et nous aurons le même débat à propos du stage préalable à l'installation des artisans. Laissons à chacun la liberté et la responsabilité – dans un cadre global, bien entendu. En l'occurrence, cet amendement donne le sentiment que la suspicion remplace la responsabilité. Je vous invite donc à le retirer, madame Oppelt, car il ne me semble pas conforme à la philosophie de ce texte.