Puisque le Gouvernement avait invoqué le caractère payant du stage et le fait que la somme modique de 194 euros pouvait constituer un frein à l'accès à la vie active, mon amendement avait seulement pour objet de faire financer par une taxe les 1,2 million d'euros annuels que cela représente, si on se fonde sur les 6 600 stages suivis en 2016 : ce n'est pas un drame… Mais je vois que notre rapporteur est un libéral libertaire, puisqu'il s'est converti : après avoir supprimé l'obligation, il veut maintenant faire payer le juste prix…