Je vous invite donc, monsieur le ministre et monsieur le rapporteur, à faire preuve d'une bienveillante attention à l'égard de nos amendements. Sinon, votre loi restera une coquille vide et le revenu des agriculteurs ne cessera de chuter.
Je crains que le scénario catastrophe, décrit hier par M. Mélenchon, ne se réalise, car des milliers d'exploitations ferment année après année.
Monsieur le ministre, il vous reste deux jours pour redonner espoir à nos paysans !