Le plan de diversification de protéines que nous avons adopté en première lecture constitue un véritable engagement. Nous préférons attendre d'analyser ses résultats avant d'introduire une obligation en matière de menu végétarien, qu'elle soit quotidienne ou hebdomadaire. Comme cela a déjà été souligné, certains établissements ont déjà adopté cette pratique. Il n'y a aujourd'hui aucune interdiction : les structures qui souhaitent faire ce choix sont libres de le faire selon les modalités qu'elles choisissent. Elles font ce qu'elles veulent.
En conséquence, nous ne voterons pas ces amendements.