À vouloir préserver, pour de mauvaises raisons, une industrie qui n'a pas d'avenir, on risque de créer des problèmes pour d'autres industries et d'autres secteurs économiques.
Ne nous trompons pas de combat, je le répète. Sur la solution proposée, nous devons aller vite : outre que le problème est loin d'être nouveau, si l'on repousse indéfiniment la décision de s'en emparer, un jour, on ne pourra plus le surmonter. Le problème des plastiques est gravissime ; nous devons nous y attaquer fermement.