Un produit bio témoigne d'un mode de production. L'indication de l'origine, France ou Afrique du sud, fournit une certaine information, mais on ne peut pas entrer dans des détails qui seraient contre-productifs et rendraient vaine toute comparaison.
Et je ne parle pas de la diversité de nos interventions dans les champs ! Il peut arriver de devoir traiter à deux reprises un champ de blé mais trois fois un autre, en raison des conditions agronomiques : comment le valoriser jusqu'à la transformation ?
Ce serait une usine à gaz !
Nous devons mettre en avant des modes d'étiquetage synthétiques, positifs, clairs – avec ou sans OGM, par exemple. Entrer dans les détails serait contre-productif et l'approche proposée me semble excessive par rapport à l'objectif recherché.