Bien sûr, il y a de l'engagement, mais il n'y a jamais de renoncement. Je ne suis pas homme à renoncer. Nous avons des positions, des convictions fortes. Nous avons souhaité créer les conditions d'une agriculture qui relève les défis de demain, d'une agriculture compétitive, qui réponde au devenir de nos producteurs, lesquels veulent vivre dignement de leurs revenus. Nous avons voulu tracer les contours d'une politique alimentaire durable, pour une alimentation sûre, saine et de qualité. Le texte va continuer sa vie en deuxième lecture au Sénat. Nous allons continuer à le travailler et à l'enrichir pendant cette dernière lecture.
Jusqu'au bout, nous aurons la volonté qu'il réponde aux aspirations des agriculteurs, parce que nous avons le devoir d'être fiers de notre agriculture, de nos agriculteurs. C'est bien à ceux-là, à ceux qui nourrissent la terre, que nous le devons.