Votre question avait bien commencé, monsieur le député : vous avez eu raison de féliciter le président Ferrand pour son élection à la présidence de l'Assemblée.
La suite de votre question était presque aussi bonne, à quelques approximations près, à quelques oublis près, notamment le fait que c'est ce gouvernement qui a généralisé le chèque énergie, au bénéfice de 3,5 millions de Français pour un montant moyen de 150 euros, de façon à aider celles et ceux qui sont les plus fragiles à faire face aux conséquences de la transition énergétique que chacun sur ces bancs appelle de ses voeux.
Mais votre question, monsieur le député, comportait un risque, un seul : s'il n'y avait pas eu de session extraordinaire, vous n'auriez pas pu la poser puisque vous auriez été confronté à l'augmentation de la prime d'activité de vingt euros par mois ; à la baisse de 30 % de la taxe d'habitation mais aussi à la diminution des cotisations salariales, qui va se traduire par un gain net pour l'ensemble des salariés.
Monsieur le député, en matière de pouvoir d'achat nous agissons, nous travaillons en cohérence...