Je tiens à saluer à nouveau le travail de la commission des lois et du ministre d'État, qui a défendu ce projet de loi. L'article 3 permettra d'introduire dans le droit commun des mesures qui, pour certaines, n'étaient pas prévues par l'état d'urgence, mais qui seront utiles, car nous avons tous un objectif commun. Je tiens à dire à M. Ciotti que personne n'a le monopole de la protection des Français et que nous sommes tous là, aujourd'hui, pour les défendre. Si nous restons jusqu'à une heure du matin pour en discuter, c'est que nous sommes tous concernés par le sujet. J'exprime à nouveau mon respect du travail parlementaire et remercie l'ensemble des députés d'avoir introduit toutes ces mesures dans le droit commun, parce que notre pays en a besoin.