Je me permets d'insister pour que vous retiriez l'amendement CS962. Après une longue discussion avec la présidente de la FDJ, avec qui j'ai examiné cet amendement très attentivement, je ne me permettrais pas d'être aussi insistant si la FDJ n'avait pas manifesté une réelle inquiétude. Si cet amendement était adopté, sur cinquante-six jeux en ligne aujourd'hui exploités, seuls dix-neuf seraient autorisés, parce que les mots que vous employez dans cet amendement restreignent le champ des jeux.