Je précise que ces fonds seront répartis à hauteur d'un tiers pour les start-up du secteur de la deep tech qui pourront répondre à des appels à projets, et de deux tiers pour les grands défis. Nous avons déjà identifié deux grands défis concernant lesquels il est nécessaire d'investir pour soutenir le développement de la technologie : l'intelligence artificielle et les nanotechnologies.
Cependant, je suis plutôt défavorable à cet amendement car le fonds pour l'innovation de rupture a déjà été créé par voie réglementaire. De plus, la rupture ne saurait par nature être définie : pour ne pas la limiter, il faut laisser le champ ouvert au maximum. Enfin, je conviens qu'il faut évaluer ces actions, mais je ne suis pas certaine qu'un rapport au Parlement soit opportun.