Je rappelle que les textes européens prévoient la circulation des capitaux au sein de l'Union européenne et je pense que c'est une très bonne chose. Les investisseurs indésirables – je ne donnerai pas leurs noms – se trouvent plutôt en dehors de l'Union européenne. Enfin, le Gouvernement est des plus vigilants sur la question agricole et je pourrais vous citer mille exemples. Voilà vingt ans que nous travaillons sur la question de l'épargne de précaution agricole. Bercy s'y est toujours opposé et maintenant qu'il s'y trouve un ministre de l'économie et des finances qui a été ministre de l'agriculture pendant trois ans, nous allons lever le « verrou de Bercy » en la matière.