J'émets également un avis défavorable sur ces trois amendements. Il n'en reste pas moins que je recevrai M. Potier très volontiers, et beaucoup plus qu'un quart d'heure, tant le sujet me passionne. Je rappelle que, dans le cadre du G20 agricole que j'ai eu l'honneur de présider en 2010, j'ai été le premier ministre de l'agriculture français à engager des négociations internationales sur l'accaparement des terres agricoles.