Vous connaissez mon état d'esprit, monsieur Fasquelle, je rappelais seulement qu'il faut parfois assumer certaines contradictions en politique. Ce sont des députés du groupe Les Républicains qui, j'y insiste, en saisissant le Conseil constitutionnel, ont fait tomber la réforme qui pouvait asseoir la hiérarchie entre la propriété, la liberté d'entreprise et le bien commun lorsqu'il s'agit d'enjeux planétaires et de la survie de l'humanité. Nous avons raté ce rendez-vous, il y a un an et demi, certains d'entre vous s'étant fait le relais, il faut le dire, d'un lobby ultra libéral de la propriété foncière. Il existe une autre logique qui, j'en suis sûr, peut rassembler des hommes et des femmes de toutes les tendances politiques et c'est d'ailleurs le sens de mon combat qui réunit des Républicains, des centristes, des communistes...