Je salue la volonté de la rapporteure d'étendre le plus possible l'intéressement, mais je continue à avoir des doutes sur notre capacité à contrôler les effets d'une telle mesure en faveur des collaborateurs non-salariés. Comment s'assurer, en effet, de la réalité du travail effectué par des personnes qui ne sont pas présentes dans l'entreprise ? L'amendement soulève de nombreuses questions. Je suggère donc qu'il soit retiré et que nous continuions à travailler. Je ne ferme pas la porte, mais nous n'avons pas, aujourd'hui, de garanties suffisantes pour adopter un tel dispositif.