Mes chers collègues, le temps presse face à ce fléau et, à ce rythme-là, nous risquons d'y être encore dans un siècle. Il faut aller beaucoup plus vite. C'est pourquoi les députés communistes vous feront très bientôt de nouvelles propositions pour lutter contre ces multinationales qui cherchent à éviter l'impôt, et pour une fiscalité plus juste.
Vous l'avez compris, votre projet de loi n'est pas à la mesure d'un fléau qui menace notre pacte social et les fondements de notre démocratie. C'est la raison pour laquelle les députés du groupe de la Gauche démocrate et républicaine voteront contre ce texte.