Monsieur le président, je m'efforcerai de répondre à vos remarques et de préciser certains points, tout en me gardant de cautionner certaines opinions – cela ne vous surprendra pas.
L'opposition est bien dans son rôle lorsqu'elle pointe ce qu'elle ne considère pas comme juste, ou vrai ; mais il serait bon qu'elle fasse des propositions concrètes lorsqu'elle appelle à baisser les dépenses publiques, tout en diminuant les impôts, et tout en réduisant la dette. J'imagine qu'elle se livrera à cet exercice lors du débat parlementaire et c'est avec grand plaisir que nous les étudierons. Jusqu'ici, elle a toujours refusé celles que nous avons faites.