Il s'agit toujours d'imposer au donneur d'ordres de prendre ses responsabilités à l'égard de ses sous-traitants, notamment réguliers.
En l'occurrence, nous proposons la création d'un fonds de solidarité interentreprises pour que la contribution sociale soit mutualisée entre les grandes entreprises et les PME. Ces dernières en seraient ainsi soulagées puisque, en proportion, elles auraient nettement moins à payer que les grands groupes. Nous pensons que les relations interentreprises ne se résument pas à de la compétition, y compris entre les grosses et les petites, et qu'il doit s'instaurer davantage de coopération. Cet outil y contribuerait.