Comme dans d'autres amendements que nous examinerons à l'article suivant, il s'agit de faire de la finance verte une réalité.
En l'espèce, nous proposons qu'une part de l'épargne retraite – laquelle est par nature un investissement de long terme et représente 130 milliards d'euros, ce qui n'est pas rien – soit entièrement orientée vers la finance verte, c'est-à-dire vers des projets ne portant pas atteinte à l'environnement et permettant in fine le développement d'une économie durable.
Nous estimons qu'il faut changer de paradigme ; tel est le sens de l'amendement, au coeur de l'enjeu de la transition écologique.