Le rapporteur général m'a dit à l'oreille : « C'est très bien. je ne comprends pas pourquoi on n'y a pas pensé. » Cet amendement assez élégant met en effet en symétrie cette capacité des entreprises de sortir de la cote – un choix qui, je l'ai dit, peut être essentiel, notamment lorsqu'elles font face à des restructurations ou à des projets d'innovation majeurs – avec la situation des actionnaires minoritaires, qui pourraient, eux aussi, demander le retrait de la cote. Ce sera une contrepartie tout à fait légitime à la capacité qu'ont les actionnaires majoritaires de le faire le cas échéant. Avis favorable.