Cet amendement relève du même esprit. Il vise à plafonner le montant des dividendes distribués en fonction de la capacité d'investissement des entreprises. Cela conduit à respecter un ratio permettant de conjuguer la juste rémunération des actionnaires et des salariés, ainsi que le financement de l'investissement.
Au-delà des arguments techniques, j'aimerais savoir, monsieur Barrot, madame Gény-Stephann, si vous considérez qu'il s'agit d'un sujet d'importance et, si, considérant nos solutions comme n'étant pas les bonnes, vous envisagez de définir des règles permettant de mieux réguler la répartition des bénéfices entre les actionnaires, parfois trop éphémères, la ressource humaine – autrement dit, le travail – et l'investissement de long terme.