Nous avons écouté avec attention les interventions de Mme Marietta Karamanli et M. Michel Herbillon. Toutefois, nous considérons qu'un travail long et approfondi a été fait et bien fait, que l'ensemble des sujets ont été évoqués et que tout est désormais connu. Certes, le Conseil et le Parlement européen ont, dans l'intervalle, pris position sur la situation de la Hongrie et de la Pologne, mais nous sommes membres d'un Parlement national libre de ses décisions. Nous sommes donc libres d'aller jusqu'au bout aujourd'hui et si cette décision déplaît à certains, ils ont le choix de rester ou de quitter la séance.