Cette affirmation du professeur Lejeune devrait être un principe de gouvernement, un principe de vie. Le message est clair, nous sommes les obligés de ces enfants et de leurs familles. Alors, allons-nous rester là à répéter éternellement qu'il faudrait faire quelque chose, ou allons-nous nous décider à agir ? Allons-nous, une nouvelle fois, nous cacher derrière de petits arrangements politiciens et laisser la majorité rejeter un texte au prétexte qu'il ne viendrait pas de ses bancs ? Ou pouvons-nous, pour une fois, essayer de travailler ensemble pour servir le bien commun ?