Vous reconnaissez pourtant qu'il faut agir maintenant ; mais vous trouvez cette loi trop ciblée, pas assez large, pas assez ambitieuse, simpliste.
Pour vous, nous l'avons bien compris, ce n'est pas l'urgence ! Les 20 % d'enfants et leurs parents, qui attendent une entrée à l'école, apprécieront.
Mais alors, qui décide de l'urgence ? Lorsqu'il s'agissait de lutter contre les fake news, vous avez ciblé seulement les campagnes électorales, avec pour motif l'urgence. Pourquoi toujours la forme et jamais le fond ?
Votre position sur ce texte est symptomatique de votre manque d'humilité – même le pilier des piliers de votre gouvernement, premier soutien du Président de la République, l'avait dit.
Ne vous inquiétez pas, tout vient à point à qui sait attendre ! Attendre, c'est d'ailleurs votre actualité.