… qui va faire l'objet d'un groupe de travail le 14 novembre prochain. Étant hématologue et ayant siégé longtemps au conseil scientifique de l'Établissement français du sang, je sais que cette exclusion d'un an ne repose sur aucune raison scientifique. C'est pour cela que j'ai souhaité m'y attaquer, ce qui était courageux, puisque peu de pays ont des critères différents des nôtres. L'arrêté pris par le ministère de la santé était déjà assez en avance par rapport à la réglementation internationale. Mais je souhaite que nous évoluions, parce qu'il n'y a aucune raison, aujourd'hui, de traiter différemment certaines personnes. Seule compte l'évaluation du risque individuel.
Monsieur Saulignac, je vous ai entendu dire tout à l'heure « quel courage ! » à l'adresse d'un député de La République en marche.