Le débat est passionné et passionnel, et j'ai écouté ce qui s'est dit de part et d'autre de notre hémicycle : aucun des arguments échangés ne peut laisser insensible. La réalité est que, à ce jour, nous avons échoué, quels que fussent les talents de nos anciens ministres de l'intérieur, qui, j'en suis persuadé, ont fait le maximum – comme Manuel Valls, ici présent. Malgré cela, nous avons eu à déplorer 250 morts. C'est pour cela que nous écrivons une loi ; autrement nous ne le ferions pas, tout irait bien !
J'ai entendu nos collègues de l'extrême gauche sur les fichiers.