D'abord, le secteur de la santé est exclu de ces amendements. C'est évolution par rapport à l'année dernière.
Ensuite, on pourrait ne conserver que la partie sur le suramortissement, et préparer un nouvel amendement pour la séance. Car les technologies sont là, et sont déjà effectives. Qui plus est, ce sont des entreprises de chez nous qui les proposent.