J'ai bien entendu vos réponses, monsieur le rapporteur, madame la ministre, mais je le répète : il ne s'agit que de donner une possibilité ; cela ne veut pas dire qu'on le fera à chaque fois ou que l'on placera tout le monde en centre de rétention ! Mais il faut aller vite. Le drame, aujourd'hui, c'est que nous sommes bloqués par un carcan. C'est pourquoi je vous demande de revoir votre position.