Nous devrions nous mobiliser pour en sortir : c'est une question de souveraineté et d'indépendance.
Les modèles qu'ont présentés les deux lauréats du prix Nobel d'économie cette année montrent bien qu'il ne faut pas attendre pour infléchir le marché. La responsabilité, c'est intervenir sur l'innovation et les nouvelles ressources, qui sont notre croissance de demain.
Nous n'occultons pas pour autant l'impact de cette fiscalité sur le pouvoir d'achat des ménages les plus fragiles et les plus exposés. Au contraire, nous l'affrontons, en renforçant les mesures d'accompagnement qui fonctionnent, comme la prime à la conversion, le chèque énergie et le soutien des dispositifs de lutte contre la précarité énergétique.
Je ne peux qu'inviter à renoncer aux postures ceux qui se servent du mot « environnement » pour diviser. Ces questions nous concernent tous et sont trop graves pour ne pas rimer avec « union ».