La baisse de la pression fiscale pour les entreprises, ensuite, permettra à celles-ci de regagner les points de compétitivité dont elles ont besoin, en lien direct avec tout ce que nous avons fait l'an dernier, mais aussi avec la loi PACTE, que nous avons votée en première lecture il y a quelques jours.
Relance de l'investissement, donc de l'emploi par la baisse du coût du travail : tel est l'objet de la suppression du CICE et de son remplacement par une baisse de charges directe et pérenne. D'aucuns se plaindront de cet effet bonus de 20 milliards en 2019 ; pour notre part, nous l'assumons, car il permettra justement aux entreprises de retrouver des marges, d'investir et d'embaucher. En outre, la démarche est parfaitement complémentaire de la poursuite de la baisse de l'IS.
Permettez-moi, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur général, de m'attarder brièvement sur la suppression des taxes à faible rendement, qui, vous le savez, m'est chère.