D'abord, je tiens à dire que je suis parfaitement d'accord avec notre collègue Reiss lorsqu'il évoque la brutalité avec laquelle les préfets s'adressent désormais à nos maires. Je sais, monsieur le ministre, que vous n'y êtes pour rien, parce que vous savez vous-même ce que c'est – vous m'avez naguère accompagné dans les rues de Roubaix…