Je vais répondre à M. Bourlanges parce que je comprends que cette situation puisse susciter des questions. Je veux d'abord vous signaler, même s'il ne s'agit de la lecture quotidienne de chacun d'entre vous – pas davantage que de la mienne – , qu'il existe un BOFIP, un Bulletin officiel des finances publiques, spécifique sur la question, et qu'aucun contribuable ne peut dire que son cas n'a pas été prévu.
Monsieur Bourlanges, l'exemple de l'avocat – il en irait d'ailleurs de même pour un agriculteur, un artisan ou un médecin – qui fait une année exceptionnelle…