Deuxièmement, la coordination, sous l'autorité des préfets, répond bien à l'urgence de ces situations.
Troisièmement, ce qui pose problème est d'abord l'anticipation et la prévision à court terme, mais aussi l'alerte. Nous avons, en matière climatique comme en matière de risques technologiques, un devoir de modernisation et de professionnalisation de notre dispositif d'alerte.
Quatrièmement, l'entretien des cours d'eau est une question importante : aujourd'hui, il est juridiquement et administrativement impossible d'intervenir sur les rivières, les fleuves et les gaves, par exemple pour évacuer les embâcles.
Nous devons, monsieur le Premier ministre, modifier notre arsenal législatif et réglementaire en la matière.