Je retiens d'abord un point, monsieur Saint-Martin : vous nous avez dit que votre majorité ne souhaitait pas toucher au quotient familial. Je salue cette affirmation car, à mon avis, ce n'est pas clair dans l'esprit de tous les membres de la majorité.
Par ailleurs, vous avez reconnu, dans votre réponse, que le quotient familial était un élément de la politique familiale, un élément de redistribution horizontale, comme je l'ai dit, entre les familles qui n'ont pas d'enfants et celles qui en ont. Dès lors que vous reconnaissez cela, j'estime qu'il faut en tirer toutes les conséquences en revenant aux plafonds de quotient familial en vigueur avant 2013.